L’arbre des Marot de Monville

Pour les perspicaces, il y a une faute dans un prénom !

Dénomination des branches

Avec une moyenne de dix enfants par génération depuis la Révolution Française, les MAROT ont particulièrement bien œuvré pour le repeuplement de la Wallonie et de la Famenne en particulier.
Seules les techniques modernes de contrôle des naissances ont quelque peu ralenti le rythme ces dernières décennies …

Ce grand nombre de descendants ne facilite pas toujours l’identification des différentes branches ou familles, ce qui fait que nous nous sommes trouvés face à un problème très concret pour la réalisation du présent site: comment aider le lecteur à s’y retrouver ?

La solution est venue d’elle même.
Lorsque vous assistez à une réunion de famille chez les MAROT (et sans doute dans toutes les grosses familles), vous remarquez que, « à la manière des anciens nobles », ils se désignent en utilisant des noms de lieux : « ceux de Finnevaux » – « … de Noiseux » – « … de Mirwart » – …

J’ai trouvé ce système bien pratique et l’ai utilisé dans les pages qui suivent.

La première famille est constituée par Ovide, Marie-Thérèse et leurs enfants ; cette famille est désignée par de nombreux cousins sous le vocable « … de Monville ».
Nous aurons ensuite :
 la branche de Léon : « … de Mirwart »,
 la branche d’Alexandre : « … de Chénée», (sans enfant)
 la branche de Léonie : « … de Verviers »,
 la branche d’Irma : « … de Bruxelles »,
 la branche de Jules : « … de Virton »,
 la branche d’Omer : « … de Montegnée »,
 la branche d’Albert : « … de Bressoux »,
 la branche de Maria : « … de Rochefort »,
 la branche d’Irène : « … de Hotton »,

auxquelles nous pouvons ajouter « tante Jeanne », religieuse, au coeur de l’arbre.

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